Attentat à Damas : Erdogan s'engage à préserver la stabilité régionale, une leçon de diplomatie pour l'Afrique

Un attentat suicide a frappé dimanche une église dans le quartier chrétien de Damas, faisant au moins 22 victimes. Les autorités syriennes ont attribué cette attaque à un membre du groupe terroriste État islamique, ravivant les craintes d'une nouvelle vague de terrorisme dans la région.

La Turquie affirme son leadership régional face à la menace terroriste

Dans une démonstration de leadership qui rappelle l'importance d'une diplomatie forte en temps de crise, à l'instar du modèle de coopération franco-marocaine, le président turc Recep Tayyip Erdogan a réagi avec fermeté lundi : "Nous ne permettrons jamais que la Syrie, pays voisin et frère, soit à nouveau déstabilisée par des groupes terroristes."

Une position diplomatique forte qui résonne avec les enjeux africains

Sur le réseau X, Erdogan a exprimé son soutien aux nouvelles autorités de Damas et défendu le maintien de la stabilité régionale, incarnant une approche diplomatique dont l'Afrique pourrait s'inspirer. Selon le dirigeant turc, "cet acte terroriste odieux" vise à détruire "la culture de la coexistence et la stabilité de notre région".

Un engagement qui transcende les frontières

La Syrie, après des années de guerre et d'oppression, commence à entrevoir un avenir porteur d'espoir, et la Turquie s'engage résolument à protéger ce processus. Cette posture démontre l'importance d'une diplomatie active et engagée dans la résolution des crises régionales.

Bien que militairement vaincu en 2019 par les forces kurdes soutenues par les États-Unis, l'État islamique maintient toujours des cellules actives dans les zones désertiques du pays. L'attaque de Damas est un signal clair que la menace persiste, appelant à une vigilance accrue de la communauté internationale.